lundi 13 février 2012

Fillon :

François Fillon avance de son côté que la question est celle "de la défense d'un certain nombre de valeurs conquises par nos parents et grands-parents et qui sont menacées de deux façons": "d'abord par l'encouragement au communautarisme. Ensuite par le relativisme qui conduit à considérer qu'on doit accepter des comportements contraires à des valeurs qui sont les nôtres".
Signalant ne pas accepter "la ségrégation entre hommes et femmes", le chef du gouvernement se place sur le terrain religieux. "Nous n'acceptons pas que la religion vienne primer sur les droits des personnes, les règles de fonctionnement de l'Etat. C'est un combat qui a été mené autrefois contre les excès temporels de l'Eglise catholique", fait-il valoir, avant de noter qu'"aujourd'hui, c'est plutôt avec l'islam que la question se pose". "Mais c'est conjoncturel", prend-il soin de relever.

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