jeudi 16 mars 2017

Quand on dénonce l'invasion,  on est xénophobe, quand on dénonce le Coran(livre d'incitation à la haine) et les islamistes on est islamophobe, quand on dénonce les dérives politiciennes, on est fachos ou gauchos...
etc...
Je suis français et je gueule...
Ce que les gens ne comprennent pas, c'est que j'ai atteint un certain âge, bientôt 60, donc, et la France que l'on me propose aujourd'hui n'est pas celle que j'ai connue et aimée... Je n'ai pas à supporter le vivre ensemble que l'on m'impose... Les burkas, burkinis etc... m'indisposent la vue, et encore plus quand je sais ce qu'ils représentent.
Les musulmans veulent nous envahir et le revendiquent ouvertement.
Nous on reste là et on prône le vivre-ensemble : BORDEL, ouvrez les yeux, ils vont nous bouffer.
Je discutais l'autre jour avec un cadre(mon chef actuel) d'origine marocaine, qui me confirmait l'intention des arabos-musulmans de nous envahir, de nous convertir ou de nous tuer, d'éradiquer les juifs(tel que le recommande le Coran), de réduire nos femmes à néant et nous, on baisse le pantalon et on se tourne cul en l'air pour une pénétration ?
Ils viennent ici pour faire la même chose que dans leur pays, alors, regardez ce qui se passe dans leur pays : lapidation si adultère, interdiction aux femmes de conduire etc...
Le grand remplacement...avec la bénédiction des socialistes...
La faute incombe aux différents gvt de droite comme de gauche, qui pour se faire élire, à droite avec la bénédiction des patrons(main d'œuvre pas chère), à gauche, avec la bénédiction de la nouvelle population,
et nous , les français là dedans ???  pourritures...
Quand on regarde la campagne pour l'élection présidentielle 2017, dont je ne parlerai pas ici, on comprend tout... magouilles, tournage de veste etc...
Nos ancêtres qui se sont battus pour une éducation, une morale, des valeurs doivent nous blâmer pour ce que nous laissons faire voire provoquons.
Quand on ne connait pas son histoire, on est amené à la revivre... Dans les écoles, on apprend plus rien... 85% de réussite au bac, ils auraient même pas le certificat d'étude des années 60 ou le BEPC des années 70..
Alors, si on est amené à la revivre, on va refaire une révolution contre nos politiciens véreux et chasser l'ennemi(arabo-musulmans) hors de France...


CA VA PETER
Bonjour,


Présidentielles 2017 : NO COMMENT... devant tant de nullité...
CA VA PETER

vendredi 18 mars 2016

Chômage, d'après l'INSEE inversion de la courbe à venir...  c'est impossible... Prendre les gens pour des cons à ce point...et quelque soit le gouvernement!!!
La bonne question à se poser est : pourquoi il y a du chômage ??? 


1° Ne pas se tromper en superposant des évènements passés pour expliquer le chômage : exemple les chocs pétroliers(1973, 74)


2°  Les vraies raisons sont que depuis une quarantaine d'années, on fait tout pour diminuer l'emploi:


        - décentralisation à l'étranger des sites de production, hotline etc...
        - informatique : une opératrice de saisie et un informaticien peuvent remplacer des dizaines de personnes...
        - automatisation des chaînes de montage, notamment dans l'automobile
        - industrialisation des sites de production
        - automatisation des centres de tris(Poste, Transport etc...)
        - automatisation des caisses dans les supermarchés.
        - etc...


Compte tenu que toutes ces raisons sont en constante augmentation, je ne vois pas comment on peut promettre une baisse du chômage ou s'engager pour une réélection..


Les charges sur les emplois sont trop fortes pour les patrons voyous qui ne s'en mettent plus assez dans les poches, c'est pourquoi on privilégie les machines, peu d'entretien, jamais de grèves ni de prime de fin d'année, etc..(avec la caution de l'état, ne l'oublions pas..)


Il y a pourtant quelques solutions possibles : ex. : Mélenchon : développez la culture dans les océans...
 
Mais aussi, produire plus pour exporter, réduire les coûts  de production humains,  fabriquer français et en faire la promotion dans le monde, on a encore une bonne image... 


STOP : arrêtez de nous dire que le chômage va diminuer et changer le code du travail n'y fera rien du tout, MENSONGES...
Ca va pêter...
 

mardi 2 février 2016


Julie GAYET est une fille "normale",

comme les aime HOLLANDE qui a horreur des riches…

Elle est en 2005, la maitresse de Philippe RISOLI, écarté de TF1…

 

Maman GAYET est antiquaire, papa GAYET est chirurgien.

Il est mondialement connu, ancien membre du cabinet KOUCHNER

et possède un château à BERRAC dans le Gers.

Il était aussi l'amant de Macha MERIL.

 

Ce château, que Martine AUBRY, autre socialiste pauvre et dans le besoin, avait cherché à acheter.


Le dit CAHUZAC avait trainé les pieds pour mettre en place la taxe à 75%,

car son frère Antoine CAHUZAC dissimulait un paquet de virements de gens riches

vers la Suisse via la banque HSBC et dont il était le président…

(Source MEDIAPART).

Bref personne n'avait intérêt à ce que tous ces gens pauvres soient mis à la lumière...

Et comme il y a une justice très dure pour ces gens "normaux" :

1)Jérôme CAHUZAC a été interdit d'exercer la médecine

par le conseil de l'Ordre pendant seulement … 3 mois !

2)Antoine CAHUZAC a démissionné de son poste chez HSBC....

il coule maintenant des jours tranquilles comme directeur général

d'EDF et des CIMENTS LAFARGE... Rien que çà...

Heureusement que l'on a appliqué dans notre cher Pays la loi et les sanctions...

Corruptissima republica plurimae leges !

Autres histoires réjouissantes... Décidément, tous les mêmes nos politiques…

Aurélie FILIPETTI ministre PS de la culture, et reine de l'intégration des sans-papier

était la maîtresse de Jérôme CAHUZAC !

Toujours lui ! (et maintenant d'Arnaud Montebourg)

 

Elle s'est faite larguée pour une autre : Ségolène ROYALE,

mais pour quelques mois seulement…

Par vengeance, elle a tout "balancé" à madame CAHUZAC,

ce qui explique certains tirages et les quelques bruyants couacs

entre les deux ministres au début du quinquennat…Histoires d'alcôve, tout s'éclaire pour obtenir des postes en POLITIQUE...

Mais ce n'est pas fini !

Najat VALLAUD BELKACEM a eu une liaison avec Pierre MOSCOVICI…

CAHUZAC et LOANA

Selon Le Journal du Dimanche, l’ancien Ministre du Budget,

accusé par MEDIAPART d'avoir eu des comptes en Suisse et aux Iles CAIMANS,

a divorcé de son épouse Patricia en 2012 après une liaison intermittente avec LOANA.

 

 

 

Un divorce très difficile réglé par la justice,

puisqu’on aime les sousous chez CAHU…

L'arrivée d'un 3ème personnage vient compliquer l’imbroglio politico-médiatique.

Il s'agit de l'avocate de Patricia CAHUZAC, qui n'est autre qu'Isabelle COPE,

la sœur du Président de l'UMP, Jean-François COPE...

Attention ! Maitre Isabelle COPE, elle-même,

maitresse de notre ancien ministre AYRAULT,

est soupçonnée d'avoir ouvert plusieurs comptes en Suisse en 2005...

 

Et si Patricia CAHUZAC a décliné tout commentaire

car elle était aussi la maitresse de Carlos GOSHN, PDG de RENAULT,

le JDD révèle qu'elle a fait suivre son mari par plusieurs détectives privés,

au cours de l'hiver 2011..

CAHUZAC, 60 ans, aurait épousé en début d'année 2013 la fille de Dany SAVAL,

épouse de Michel DRUCKER...

L'inamovible des dimanches télévisés...

Fille aujourd'hui âgée de 48 ans, un laps de temps maitresse d'Enrico MACIAS,

et fille adoptive de papa DRUCKER...

 

Ce brave Michel DRUCKER, ex amant de Sabine AZEMA, ami de CAHUZAC,

a obtenu comme par miracle un permis de construire pour sa villa,

dans un site classé du côté de Saint-Rémy de Provence...

Et ceci malgré l'interdiction de construction !

CAHUZAC, tombeur bien connu des dames,

avait une clinique de chirurgie capillaire dans le 8ème arrondissement,

"un quartier pauvre de PARIS", où il pratiquait une véritable activité humanitaire

de médecin dévoué au peuple...

Greffant des cheveux à tirelarigot à des tarifs spéciaux…

L'avocat de ce pauvre ponte dans le besoin, Maitre Jean VEIL défend également DSK...

 

Cet illustre inconnu pour monsieur Toulemonde, ne l’est pas pour l'intelligentsia Parisienne

il s'agit simplement du fils de Simone Veil
> > > > > > > > > > > > > > > > > > > Il est passé dans l’émission de DRUCKER, pour faire la bise à sa maman,

ce qui ne pouvait qu'émouvoir les foules attendries…
Quel Bordel la Politique française !

lundi 1 février 2016

HUM

Ovni ...
Le vent sifflait si fort entre les branches que je dû mettre la main sur mon chapeau pour qu'il ne s'envole pas. Une ombre illuminée sur la droite attira mon regard, mais je ne vis pas vraiment ce que c'était. Je n'avais pas pris mon chien qui gardait les moutons plus haut dans la montagne. On avait fumé quelques oinjes au refuge avec les collègues, et je n'étais plus très sûr de moi, mais je m'en foutais. Qui voudrait attaquer un pauvre berger, qui n'avait sur lui qu'un paquet de Samson et un vieux  Zippo pour toute fortune. Lentement, mais surement, je pressai le pas, sentant un frisson s'emparer de moi...  Lorsque je les vis, ce fut trop tard... Ils resplendissaient de lumières et leur tailles étaient grandes, au moins 2 mètres.. De forme humaine, mais plus grands, ils avaient des bras et des jambes recouverts d'acier qui brillait, un corps recouvert d'une matière que je ne reconnus pas, et leur tête, triangulaire d'une espèce de carbone souple. Ils avaient des yeux, mais recouverts d'un voile protecteur qui ne permettait pas de discerner leur forme et leur couleur. Comme je ne suis pas un héros, je stoppai les machines et me mis en attente...
Apparemment ils n'étaient pas agressifs et pourquoi l'auraient ils été ? Ils regardaient dans ma direction tout en échangeant une sorte de dialogue par télépathie. Je le compris car ils se faisaient des signes de tête en me regardant. Malin comme je suis, je sus tout de suite à qui j'avais à faire : des êtres venus d'ailleurs. Alors qu'ils se dirigeaient vers moi, je restais tout de même tétanisé, pressentant ma dernière heure venue.
Ils s'arrêtèrent à deux mètres de moi et tendirent ce qui pouvait passer pour des bras, dans ma direction. Après une hésitation, je fis de même, et nos extrémités se touchèrent.  Tout de suite une chaleur et une sensation de bien-être m'irradièrent. Ils lisaient dans mes pensées et voyaient que je n'avais aucune agressivité envers eux mais plutôt une peur assez grande, et je ne pouvais opposer aucune résistance.. Tout de suite, ce que je ne m'explique pas, ma terreur s'arrêta, sans doute un de leur effet bénéfique.  Ils m'invitèrent par la pensée à les suivre, ce que je fis. Nous marchâmes quelques dizaines de mètres, jusqu'à un vaisseau spatiale, fait d'acier et d'où la lumière jaillissait. Il n'était pas très grand, de forme conique, avec un diamètre  au sol d'une dizaine de mètres sur une hauteur de quatre mètres. 
Une porte s'ouvrit en s'abaissant et nous servit de passerelle pour pénétrer dans le vaisseau. Nous traversâmes un rideau de rayons mauves...



Le soleil brillait déjà haut dans le ciel lorsque je m'éveillai, me souvenant plus comment j'étais rentré la veille du refuge... Tout était calme, les moutons broutaient paisiblement et mon chien Max somnolait, contrairement à son habitude.  Puis, je me rappelais de ma rencontre mais un peu comme si c'était un rêve et je me demandai si cela s'était réellement passé.
Je n'en n'étais plus sûr du tout... Je me dis que dès fois, j'y allais trop fort avec l'herbe. 
Pendant que je réfléchissais , en faisant chauffer mon café, mes pensées s'égarèrent... J'avais 50 ans et je me sentais bien. J'avais eu une vie riche en évènements, avec diverses fortunes,  de toutes sortes. Mon dernier métier, exercé pendant 25 ans dans l'informatique, m'avais permis d'avoir une vie confortable. J'avais été marié et j'avais une fille, Ana,  que j'adorais. J'avais attendu qu'elle soit grande pour  tout lâcher et faire vraiment ce que je souhaitais et je pense qu'être riche, c'est çà. Vendre tout mes biens, maison, voiture, moto, et acheter une vielle bâtisse avec un peu de terrain, travailler le  bois et faire de la transhumance l'été pour les éleveurs.  Se réveiller avec les petits oiseaux, observer une biche au loin, voir un lièvre galoper, vivre avec les moutons et mon chien pendant 3 mois dans la montagne...
Je ne pensais pas ça du tout quand j'étais jeune et je n'étais pas un écolo inné. l

Pendant la tranhumance, retrouver les potes de temps en temps le soir au refuge, faire un feu, boire un coup etc... Progrès oblige, juste un téléphone portable, que tu allumes tous les jours et que tu éteins aussitôt si il n'y a pas de message.
Je décidai de redescendre au village, pour me ravitailler pour les 15 derniers jours de la transhumance, et j'en profiterais pour savoir si personne n'avait rien vu... Je n'en parlerais pas en premier, ayant déjà un peu une réputation sulfureuse ; de toute façon, si quelqu'un avait vu quelque chose, tout le bled en parlerait. 
Je laissai Max avec les bêtes et je pris le chemin de la descente.
Alors que j'arrivai à l'entrée du bled, une voiture, style pick-up me doubla à vive allure. Elle était menée par une femme avec un foulard sur la tête, et je ne la vis pas très bien. Je ne l'avais jamais vue auparavant.
Je passai voir un  pote, pour me ravitailler en herbe. Quelques minutes après, j'entrai dans le café, épicerie, bazar, tabac journaux et m'installai au comptoir. Je saluai de la tête les 3 personnes présentes que je connaissais plus ou moins de vue, et je commandai un demi. Les personnes reprirent leur conversation anodine, lorsque, à un moment, les paroles du plus âgé attirèrent mon attention : " mon chien n'a pas arrêté de gueuler cette nuit et... " Je tendis l'oreille et appris que ça avait été le cas de plusieurs personnes dans le patelin.  
 
La jeune femme que j'avais vu en pick-up entra dans le bar et vint vers moi... ? Elle me dit tout doucement à l'oreille : alors cette nuit, avec un clin d'œil... aie... puis elle disparut. je ne me souvenais de rien, mais elle oui, apparemment... Je me dis qu'elle devait confondre avec quelqu'un d'autre. Dans le rad, les gens me dévisageaient sans comprendre.
Je me ravitaillai en tabac, et  décidai de remonter. A un moment, je m'assis sur le bord du chemin et me roula un gros pet, histoire d'être cool.
Elle ne quittait pas mon esprit : jolie sans excès, souriante et on peut même dire bonasse...putain le con, je tombais amoureux... mais de qui en fait...puisque je ne me souvenais de rien...Je décidai de recontacter mes bienfaiteurs, sans savoir aucunement comment m'y prendre...en fait, c'étais peut-être juste un rêve... mais alors, la moeuf, elle sortait d'oû... Je me laissai glisser tranquillement dans les effets planants...
Plus tard, je me fis griller quelques champignons au feu de bois...pendant que Max rassemblait le troupeau pour la nuit...
Les loups n'étaient pas loin...
J'attendais...
Finalement, je me blottis au fond de mon abri et commença à somnoler... 
Soudain, je sentis une présence contre moi... Max n'avait pas donné l'alerte et je me demandais ce que c'était, lorsque je sentis des bras, des jambes, des lêvres, des seins,  une vulve  m'entortiller comme une pieuvre...ouh là là ... Ce n'étais pas désagréable, parce que  tout était douceur...Je commençai par avoir une grosse érection... Les caresses continuèrent pendant que j'essayais d'ouvrir un œil... mais je ne pus résister à la torpeur dans laquelle je me trouvais... Je décidai de la caresser aussi pour lui donner du plaisir, et elle fut très réactive à mes actions...
Elle décida de s'introduire mon sexe au plus profond d'elle même et un long va et vient nous combla tous les deux... Puis nous recommençâmes en changeant de position, elle sur moi, de dos...Je réalisais que je ne n'avais pas vu sa tête et c'était encore plus excitant, bien que je me doutais que c'était la femme vue la veille. Bref, je ne voyais pas le rapport entre la femme et les extra-terrestres, pourtant les chiens ne m'avaient pas signalés son approche ?

Je me réveillai sur un nuage, n'ayant rien à foutre des moutons, des clebs et consort...

Il y a longtemps que je n'avais pas passer une nuit aussi bonne et qu'une femme ne m'avait pas comblée ainsi.
Il fallait quand même se bouger... cruel dilemme... j'avais envie de crier mon bonheur au monde entier mais je ne suis pas sûr que les moutons et Max seraient un auditoire à la hauteur. En fait, il ne se passait plus rien dans ma vie depuis une dizaine d'années...
Parallèlement, je sentais en moi une force intense jamais ressentie jusque là...comme si, de l'acier coulait dans mes veines.
Ne sachant comment recontacter mes (amis), je décidais d'attendre, ils ou elle reviendraient d'eux-mêmes...
La quinzaine passa vite et je redescendis les bêtes dans la vallée et les rendis aux propriétaires.
Je retrouvai ma petite maison et je commençai à oublier mon aventure récente. Je repris mon travail de tournage sur bois, mais je sentais toujours cette force indescriptible en moi.
  
Un soir que je buvais une bière au bar du village, il y a trois cailleras qui sont rentrés et ont commencées à foutre le bordel et chercher la merde aux villageois. Sans rien dire, je me suis levé, et j'en ai attrapé un par le kiki... en 2 secondes il est tombé, pendant qu'un autre essayait de me cogner par derrière. Je me suis retourné et je l'ai saisi aussi par le cou...il s'est écroulé en 2 secondes aussi, mais je ne l'avais pas vraiment serré. Le troisième s'est sauvé en voyant les dégâts. Je prenais conscience de cette force en moi sans m'étaler auprès des autres.
Je me posais beaucoup de questions tout en repensant à l'histoire de cet été dans la montagne et à ma belle inconnue.

Je décidai de passer quelques jours à Paris voir ma fille Anna qui vivait avec mon ex-femme et profiter aussi de rencontrer quelques amis. Je pris une chambre d'hôtel, non loin de l'appartement que je leur mettais à disposition.  Je ne versais pas de pension alimentaire en compensation. 
Anna qui passait son bac à la fin de l'année m'apprit qu'elle se faisait souvent ennuyer à la sortie de la fac par des branleurs... Je ne voulais pas intervenir, pensant que c'étaient des histoires de jeunes sans importance. Puis elle me dit que dès fois, ils lui mettaient la main à la poitrine et aux fesses...et là, ce n'était plus la même musique. Le père qui se déguise en héros pour sauver fifille... tellement vu. Mais il fallait quand même faire quelque chose..., Je décidai de surveiller un peu la sortie de la fac pour prendre la température. Effectivement, je vis ma fille sortir de la fac avec une copine, et tout de suite 2 mecs les suivre de près et les brancher d'un peu trop près, alors qu'elles les repoussaient.
Je me suis rapproché, j'ai choppé l plus grand par la capuche et je l'ai retourné. Profitant de l'effet de surprise, je lui ai collé un pain à l'estomac, ce qui l'a cloué au sol. Le deuxième voulant se la ramener, je le choppai au cou et il s'écroula au bout de deux secondes, un peu bizarrement d'ailleurs,  comme déjà vu cet été...Ma fille et sa copine restèrent ébahies et se mirent à rire en voyant les branlettes hors d'état de nuire qui couinaient..
On alla prendre un pot, et je savais que ces deux-là ne les embêterais plus.
J'aimais ma fille, même si nous ne communiquions pas beaucoup...je l'aimais, point. Plus tard, alors que je buvais un demi à une terrasse en regardant la Seine s'écouler et en bayant aux corneilles, une femme vint me demander si elle pouvait s'asseoir à ma table... Je la reconnu de suite, la femme du pick-up et du bar(qui m'avait fait un clin d'œil...).
Je la laissais s'installer et le doux soleil d'automne lui caressait le visage. Elle était séduisante et souriante. Elle mit un doigt sur ses lèvres en signe de CHUTTT...me prit la main et m'entraina sur les quais. Je me laissais faire, cherchant toujours des explications à mes aventures de l'été.
Elle se présenta : Mirka... Elle était ravissante, la trentaine peut-être un peu plus, mais une douceur dans ses yeux... 
Elle m'expliqua quelle était comme moi(une humaine), mais qui avait été approchée par nos amis, les extra-terrestres. Elle avait pour mission de m'approcher à son tour, mais quelque chose avait déraillé dans leur plan...et il y avait eu une inversion dans leur circuit, ce qui expliquait la non chronologie des faits entre son clin d'œil au bar et la nuit passée avec les moutons...en fait, je m'en foutais un peu...
Elle aussi avait aimé cette nuit... Ceci dit, je m'interrogeai sur la suite des évènements et ce que voulait ces gens ? Mirka me répondit n'en trop rien savoir, à part le fait qu'ils étudiaient les humains et leur mode de vie. Nous allâmes diner, mais n'avons quasiment pas parlés, tous les deux pensants intérieurement à ce qu'il nous arrivait et comment cela allait il finir...
Après nous être promener dans la nuit, nous allâmes d'un commun accord à mon hôtel....Après une coupe de champagne, elle se dévêtit, et resta en sous vêtement très sexy d'ailleurs...nous rebûmes une coupe et nous commençâmes à nous embrasser doucement puis plus langoureusement. Elle se frotta contre moi et mon excitation se fit sentir. Elle déboutonna doucement ma braguette et sorti mon sexe de sa prison. Elle le caressa tout doucement dans sa main...Je lui dégageai la poitrine de son soutien-gorge et lui caressait les seins à mon tour. La nuit fut longue...
Après un grand café, j'essayai de faire le point... ou allions nous ? La baise, ok, nous étions adulte, mais le reste ??
Elle se dévoila un peu plus que la veille : m'apprit, qu'environ une fois par semaine elle était contactée pour de nouvelles missions... Je lui demandais si c'étaient les mêmes missions qu'avec moi ? et quel était le but ?
Elle m'expliqua que nous devions répandre la bonne parole quant à la volonté d'invasion en douceur de nos extra-terrestres, mais d'une manière insidieuse de façon à ne pas effrayer les populations....Dure mission...
Nous devions parler à nos amis, à nos connaissances au plus de monde possible de cette possibilité d'invasion proche.
Elle me proposa une sorte d'association pour participer activement à cette mission. Elle me dit que l'argent n'était pas un soucis, ils lui en fournissaient à volonté...
Je l'interrogeais sur ses motivations et quelles pourraient être les miennes ? Elle me répondit qu'elle n'avait pas le choix, qu'elle ne pouvait pas dire non, que nous avions été choisis. Nous ??



Quelques mois plus tard, après plusieurs conférences de presse, expliquant la situation aux quelques personnes dans des salles quasiment vides, nous fûmes convoqués à un talk show sur une chaîne nationale. Nous nous doutions bien que nous allions être la risée des chroniqueurs...Mais nous devions remplir notre mission.
Au cours de l'émission,  alors que tout le monde semblait nous prendre pour des dingos, notre martien apparut sur le plateau quelques secondes et disparut aussitôt ...Tout le monde resta bouche bée... Le lendemain , nous étions à la une de tous les journaux et de toutes les chaînes TV qui nous voulaient de toute urgence... Nous avons été contactés par le gouvernement et les services secrets et...

Un million d'années plus tard,  alors que mon 38 tonnes me poussait depuis une dizaine d'heures, je fis une halte sur une aire d'autoroute, et je décidai de casser une graine au resto. En sortant de l'hôpital,  n'ayant pas de job, mais un permis poids lourd... J'avais perdu la mémoire suite à un choc et ça avait effacé cinquante ans de ma vie. Seuls les détails de la vie courante n'avaient pas disparus... boire, manger, conduire etc. Une femme se disant mon ex et sa(ma) fille étaient venues me voir sans que cela me rappelle quoi que ce soit. La seule chose qui me rattachait à ma vie d'avant et sans que je sache pourquoi, c'était cette terrible force dans mon bras droit... un x-men quoi... Perdu dans mes rêveries et ma nostalgie, je décidai de reprendre la route. En arrivant près du camion, je vis deux types avec un jerrycan près de mon réservoir...je vous épargne la suite...violente et rapide.
Avant de reprendre la bretelle d'autoroute, une femme qui faisait du stop me fis m'arrêter. Elle jeta son sac à l'arrière et nous fîmes connaissance. Je n'aimais pas trop prendre des stoppeurs. Soit ils te racontent leur vie dont tu n'as rien à foutre, soit ils puent ou te taxent tes clopes... Elle partait rejoindre de la famille lointaine... Elle s'appelait Mirka... Je lui proposais de se reposer sur la couchette si elle le souhaitait, elle me dit que c'était plus sympa de rester avec moi devant. J'écoutais toujours du hard des  années soixante-dix, et bien que plus jeune que moi, elle semblait apprécier Led Zep. Quelques heures plus tard, je m'arrêtai pour dormir un peu. Elle s'était assoupie sur le siège passager et je gagnai la couchette en silence. Une odeur de café me réveilla, elle avait trouvé le petit réchaud...cool pour une fois. Nous dégustâmes et repartîmes sans mot dire. Un brin de toilette ferait du bien, j'arrêtais le bahut à la première station. Assis à une table en buvant du café, je la vis revenir des toilettes et là, j'eus un flash... je la connaissais, enfin je veux dire, je l'avais déjà vu avant, dans ma vie antérieure, mais où ? Les médecins m'avait prévenu que ce genre de choses pouvaient arriver. Je grattais mes neurones, mais rien pour l'instant... alors je décidai de creuser un peu plus. Je l'interrogeai un peu plus sur sa vie antérieure, sans en avoir l'air; elle était comme moi, le trou noir... j'étais servi, moi qui recherchais une vie normale...voilà que me tombait sur la tête la même merde que moi...aie...d'un autre côté, le flash pouvait être une bonne chose, mais je décidais de ne pas lui en parler pour l'instant ne souhaitant pas avoir une quelconque influence sur ses raisonnements futurs. N'étant jamais retourner à Montclus, depuis mon trou de mémoire, ou j'avais ma bergerie, je décidai de prendre quelques jours de repos et de redécouvrir là ou je pensais avoir vécu quelques temps, l'adresse était dans mon portefeuille. Mirka fut ravie de m'y accompagner. Je ne reconnus pas la maison, et pour cause...Ca sentait le renfermé et derrière la porte, le courrier s'entassait. A peine arrivés, un jappement retentit dans mon dos, et un chien, border collie me fit une fête d'enfer, je ne comprenais pas pourquoi. Après m'être expliqué avec le voisin, que je ne reconnu pas plus, c'était Max , mon chien, que je lui avais confié avant de partir. Il faut se mettre dans la tête d'un amnésique, c'est pas toujours facile à gérer.
Je pataugeais un max...Je cherchais un moyen de revenir à la réalité...
Je décidai de prendre la chambre et Mirka s'installerait dans le salon, aussi paumée que moi...Nous nous intallâmes tant bien que mal... On faisait des promenades dans la campagne avec le chien... Des paysages avec une impression de déjà vu... 
Le soir, on écoutait de la ziq en fumant des pétards...mais rien d'autre, si vous voyez ce que je veux dire.  Je repris mon activité de tournage sur bois, me demandant pourquoi je me souvenais de ça, et pas d'autres choses ? Me débrouillant pas trop mal, j'eus vite de faire quelques belles pièces que je pus vendre... Puis je décidai de contacter un célèbre hypnotiseur pour retrouver ma mémoire. Aucun résultat...Je vis aussi un psychanalyste sans plus de succès.
Un soir Mirka vint me rejoindre dans ma chambre et nous fimes l'amour, mais sans ardeur...Nous en restâmes là...
Les années passèrent... Ana, ma fille, que je ne reconnaissais toujours pas, vint nous voir et resta quelques semaines avec nous, malgré tout.
J'avais maintenant 55 ans et je considérais que j'étais vraiment à un tournant de ma vie...peut être le dernier.
J'invoquais les dieux de me redonner ma vie d'avant, quoique très proche de celle de maintenant, mais surtout retrouver ma mémoire.
Je commençais à avoir une certaine notoriété avec mes sculptures. Mirka était partie, et ma vie sexuelle et sentimentale était un vrai désert. Et ça m'allait bien...
Un soir, alors que je faisais une balade avec Max, je les vis...ils étaient là, dans une clairière... la lumière mauve du vaisseau m'attira irrésistiblement... L'un deux m'aperçut et se dirigeât vers moi.. Tout de suite je l'interrogeai mentalement avec force sur ce que j'étais devenu... Il m'expliquât alors que eux n'y étaient pour rien, mais que c'était les services spéciaux français qui nous avaient fait une sorte de lavage de cerveau...mais il pouvait, si je le souhaitais, me faire retrouver la mémoire à condition que je les oublie eux et le pouvoir de force qu'ils m'avaient donné.. Ils ne souhaitaient plus envahir la terre... Après une seconde de réflexion environ, je lui demandai de le faire.

Je rentrai tout content me coucher mais Max me semblait bizarre. Je décidai dès le lendemain d'aller serrer ma fille dans mes bras, et j'emmènerai Max avec moi, ne voulant plus jamais me séparer de lui, fidèle compagnon...Tout me revenait  maintenant à l'esprit, Mirka; les conférences de presse, l'apparition sur le plateau de TV, le camion, mon retour à Montclus... 
Ma fille sauta de joie quand je l'appelai en lui expliquant... Je passai la journée avec elle et ce fut un réel bonheur de se retrouver. Elle préparait un doctorat en psychologie, mazette, et je me dis qu'avec moi, elle aurait du boulot.
 
C'était un peu compliqué pour tout le monde. J'avais dans la panique, oublié de demander la même chose pour Mirka que j'avais côtoyé et même plus,  pendant plusieurs mois avant notre trou de mémoire réciproque et notre épisode à Montclus. Je décidai de la rechercher. Je n'avais de surcroît aucun moyen de recontacter mes amis.
Je retournai à Montclus et je fis des recherches sur internet. Son nom de famille était Marlin, mais des Marlin, dans les pages jaunes ou sur internet, ça pullule, mais des Mirka Marlin, que nenni.
Comment faire ? Je creusais mon bois tout en me creusant la tête... Elle était facile, celle-là... J'étais rassuré, je ne perdais pas mon sens de l'humour et de l'autodérision.  
Les associations concernant les personnes disparues m'aideraient peut-être, mais je n'étais pas un membre de sa famille. J'essayais quand même, sachant que si ils la retrouvaient, elle ne serait pas obligée de se dévoiler. Mirka devait avoir environ 45 ans et pouvait se terrer n'importe où.
Et puis... un après-midi, alors que je siestais sous un arbre, je vis le pick-up arriver avec Mirka au volant. Je fis un bond et Max fut le premier à lui faire la fête... Je la regardai venir vers moi et je sus tout de suite, qu'elle aussi avait retrouvé la mémoire. Nous nous serrâmes longtemps dans les bras puis, nous nous embrassèrent à pleine bouche. Nous ne rattraperions pas le temps perdu, mais nous voulions accélérer le présent. J'allai chercher une bouteille de champagne,  et vous connaissez la suite avec le champagne... 

A+



 










          






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tiens....ça fait longtemps que j'ai pas écrit des kounneries...
Taubira qui s'en va... il paraît que ce sont les meilleures qui partent les premiers...
Je cherche qui est encore de gauche socialiste au gouvernement ?
Hollande ne veut pas de primaires... SURPRISE.....
Macron nous fait des micros lois... de droite...
C'est pour ça que j'écrivais plus... blasé ... plus rien à dire... je rentre dans le rang...cabossé de la vie...
CA VA PETER....



dimanche 17 novembre 2013

MANIPULATIONS


Ci dessous, quelques raisons qui laissent supposer qu’il s’est agi d’une opération d’enfumage. Ce sont les préceptes de deux théoriciens de la subversion : Saül Alinsky, agitateur professionnel et maître à penser de Barack Obama, et Noam Chomsky, dont voici en 10 points la stratégie de manipulation des masses (selon actuwiki.fr).
 
1/ La stratégie de la distraction
« Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser ; de retour à la ferme avec les autres animaux. » (Armes silencieuses pour guerres tranquilles- Noam Chomsky)
—> Les problèmes importants, nous les connaissons. La grogne monte. La note de la France vient d’être dégradée. Les bonnets rouges sont dans les rues, et les préfets sont très inquiets. Les radars brûlent. Et la cote de confiance de François Hollande est tombée à 15% : il fallait trouver une distraction.

2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions

« Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. »
—> Vous avez remarqué à quelle vitesse les médias ont fait feu de tous bois et ont fabriqué une histoire à partir de rien. Lorsque dans la foule, un Français hurlait « Casse-toi pauvvre con » à Nicolas Sarkozy, ils se sont joints à la curée, et je n’ai pas souvenir d’avoir lu les donneurs de leçons exiger que la présidence soit drapée du respect qu’exige Christiane Taubira eu égard à sa fonction. Ainsi donc l’insulte de guenon aurait servi de prétexte à créer le problème – ce qui explique le retard au démarrage – le temps pour organiser l’opération – observé dans cette « affaire ».

3/ La stratégie de la dégradation

« Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. »

4/ La stratégie du différé

« Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu. »

5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge

«Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celle d’une personne de 12 ans». (Armes silencieuses pour guerres tranquilles)

6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion

« Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements… »
—> Le racisme était le sujet idéal pour ralier l’ensemble de la population à l’idée que le gouvernement est victime d’un acharnement des « xénophobes ».

7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise

«La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures ». (Armes silencieuses pour guerres tranquilles)

8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité

« Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte… »

9/ Remplacer la révolte par la culpabilité

« Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts.
Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution … »

10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes

« Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes. »
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hervé Roubaix pour Dreuz.info.